A l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes célébrée le 8 mars 2018, nous vous invitons à découvrir les femmes de la SOGUIPAMI.

Mme DEJEAN Noëlle CURTIS , Chef du service Communication et des Relations Extérieures

“En service  à la SOGUIPAMI depuis 6 ans, j’occupe actuellement le poste de Chef de Service communication et des relations extérieures. Mon rôle consiste à définir les grandes orientations des stratégies de communication, assurer la transparence au niveau des informations à publier, élaborer les stratégies qui accompagnent les participations de la SOGUIPAMI aux différents forums et gérer les relations extérieures (Partenaires, investisseurs, Ministères etc…).

J’ai lu quelque part ceci : la création d’une « Journée internationale des femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s’inscrit alors dans une perspective révolutionnaire. La date n’est tout d’abord pas fixée, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier.

Un peu d’histoire pour indiquer que le combat pour l’égalité entre hommes et femmes ne date pas de maintenant et doit continuer jusqu’à l’atteinte de cet objectif.

Le 8 mars ne représente pour moi qu’une «  journée symbolique »  pour édifier le combat de tous les jours. Un combat pour la défense des droits des femmes et c’est pour moi l’occasion de lancer un appel à  toutes les femmes de tout horizon de faire de ce combat une réalité quotidienne en posant des actions concrètes et inspirantes.”

 

Ramata Keita, Chargée de communication

“Mon rôle au sein du service Communication et Relations Extérieures de la SOGUIPAMI consiste à la mise en œuvre de la stratégie de communication, la réalisation des supports de communication, la gestion du site internet et l’organisation des forums.

Le 8 mars est un jour de mobilisation pour tout le reste de l’année. Cette journée est l’occasion de mettre en avant de nombreuses initiatives pour défendre le droit des femmes et de rappeler que le combat pour l’égalité entre les hommes et les femmes est loin d’être gagné. “

 

Fatoumata Blaise Bangoura, Assistante du Directeur Général chargée de mission 

“Etant en collaboration avec des personnes différentes, souhaitant rencontrer mon supérieur et entretenant des relations professionnels avec mes collègues,  je dois faire preuve de diplomatie.

Mes taches sont les suivantes :

–     L’accueil des visiteurs qui est la première impression d’un individu dans une société

–    L’organisation et la tenue des réunions d’entreprise, communiquer le calendrier aux personnes concernées puis assister aux réunion de travail pour la réalisation des compte-rendus

–  J’assure le secrétariat personnel du Directeur et élabore son courrier à partir de ses consignes et organise son agenda

–  J’assure l’organisation des voyages du Directeur Général (réservation de billet, d’hôtel etc.)

–  J’effectue un travail de recherche très élaboré et fournis à la direction des documents de travail

La journée internationale de la femme est célébrée le 8 mars de chaque année par des groupes de femmes dans le monde entier. Lorsque les femmes de tous les continents, souvent divisées par les frontières nationales et par des différences ethniques, linguistiques, culturelles, économiques et politiques, se réunissent pour célébrer leur journée, elles peuvent voir, si elles jettent un regard en arrière qu’il s’agit d’une tradition représentant au moins 90 ans de lutte pour l’égalité, la justice, la paix et d’égalité entre hommes et femmes.

La discrimination et la violence envers les femmes sont bien une réalité comme en témoignent les nombreux cas de trafic de femmes, les violences sexuelles, les mariages forcés, les bas salaires etc.

Les exemples sont nombreux : le cas des 3 pauvres jeunes dames guinéennes assassinées par leurs maris (VIOLENCE) ou les 115 jeunes filles kidnappées au Nigéria par le groupe BOKO HARAM. Etc.”

 

Agnès Goa, Assistante aux Ressources Humaines

“Les Ressources Humaines ayant pour objectif de doter l’entreprise des talents, motiver et fidéliser afin de développer leurs compétences  tout au long de leurs carrières. Elles jouent le rôle d’interface et elles sont le fondement même d’un développement économique.

Le 08 mars, jour de commémoration, de rendre hommage aux femmes qui ont le courage de dénoncer la discrimination, jour d’affirmer que la lutte continue. C’est l’occasion pour moi de dire aux femmes que, de nos jours, on ne peut pas réclamer nos droits sans avoir les aptitudes intellectuelles requises , chercher à quitter le “Domaine de Recevoir” pour le “Domaine de Production”. Pour ce fait, nous devons de travailler sur nous-mêmes par l’éducation, la formation et l’instruction. Je remercie celles qui nous ont précédé dans le combat et je dis merci aux hommes qui ont reconnu nos valeurs. J’aimerais dire aux femmes de Guinée, soyons indépendantes financièrement et respectons nos valeurs sociales et culturelles. Ensemble nous pouvons vaincre la discrimination. Vive les femmes de Guinée ! Vive les femmes du monde entier !” 

 

Les femmes de la SOGUIPAMI ont célébré cette journée au Palais du peuple dans une ambiance chaleureuse et remplie de solidarité.